NESSERIA

Post-Hardcore – ORLÉANS

Nesseria l’insaisissable a su, au fil des années, s’approprier les codes des extrêmes pour en sublimer l’unique. Des milliers de kilomètres et le monde entier comme arène, des expérimentations infinies, et la retranscription d’une vie indéfinie.
15 ans d’intensité à exprimer une détresse brûlante, une urgence criante. Quatre âmes qui déterrent au plus profond d’eux leurs doutes hurlants et les jettent en l’air pour communier.
Chaque album devrait être le premier. Chaque concert pourrait être le dernier.

Orleans’ NESSERIA have been one of France’s most consistent power since their inception in 2003, perfecting their massive, grinding metallic hardcore over two full-lengths and several splits. For their third album the band went back to the same collaborators – “Cette Erosion De Nous-Mêmes” was recorded and mixed by Neb Xort at Drudenhaus Studio (Aluk Todolo, Anorexia Nervosa, etc…), mastered by Nick Zampiello (Converge, Gaza, Cave In…) and illustrated by Alex Eckman-Lawn (Maruta, Krieg, Hacride…) – but marks a departure from their previous body of work.


        

   


CETTE ÉROSION DE NOUS-MÊMES
2017 (ITAWAK008)

 

Recorded by Neb Xort at Drudenhaus Studio
Mastered by Nick Zampiello at New Alliance East
Artwork by Alex Eckman-Lawn

Exigeant, Nesseria ne cède à aucune facilité, accouchant d’un magma sévère qui doit s’apprivoiser avant de pouvoir en goûter le suc empoisonné. Propulsées par des rouleaux de batterie qui s’écrasent contre des falaises rocailleuses, ces saillies grondent, constamment au bord de la rupture, d’une sourde tension qui les ronge comme une lèpre nocive (‘Chasse aux Ecureuils’). S’il file très vite à la vitesse d’un cheval au galop, “Cette Erosion de Nous-mêmes” n’en dégorge pas moins une sève fulgurante car dans la panse obscure de ses titres grouillent des trésors d’écriture.
(Musicwaves)

Big Up Nesseria ! pour l’œuvre épique que vous venez de pondre.  Big Up Papa !! Tu n’aurais rien compris à ce groupe. La culture en boîte nous a séparée, les riffs funestes de Nesseria rassemblés… Basta !
(Coreandco)

Equilibre parfait entre frustration et tristesse, des sentiments aux antipodes du malaise irrespirable dont étaient dotés les précédents méfaits du groupe. Plus aérien et atmosphérique, plus actuel en somme, ce nouvel album est une impressionnante évolution pour Nesseria.
(Eklektik Rock)

Alors déjà perso j’ai kiffé la pochette, je la trouve mystique, il faut bien prendre le temps de l’observer pour essayer d’en comprendre le sens. Les gars la doivent à Alex Eckman-Lawn, qui avait déjà travaillé avec Hacride. Le son de l’album, confié à Nick Zampiello, qui, lui, a déjà officié avec Cave In et Converge, est juste massif, une prod aux petits oignons qui nous permet de profiter pleinement des diverses ambiances. Moi je trouve que c’est du putain de beau taf. Comme quoi, avec le temps les groupes sont comme les bons vins, ils se bonifient. 
(Daily Rock)